L'évolution sociale et la recherche de la prospérité ont conduit l'île, comme toute autre partie du monde dans l'histoire de l'évolution en tant que groupe social, à développer des activités d'élevage pour obtenir une subsistance vitale ou un revenu économique, dont le passage à travers le progrès a laissé un héritage important dans la culture de l'île, et plus particulièrement dans sa gastronomie. Cette activité est présente depuis l'arrivée des premiers colons de La Palma, les Benahoaritas, une société dans laquelle l'élevage déterminait dans une large mesure les mouvements de population entre les terres moyennes et les sommets, à la recherche de nourriture pour le bétail.

Aujourd'hui, plusieurs entreprises et habitants de l'île vivent de l'élevage. Ainsi, au fil du temps et grâce à la sélection humaine, sont apparues des races autochtones telles que le porc noir, la chèvre palmiste, la vache palmiste, la poule jabada canarienne et le mouton palmiste.